Témoignage du Père Tomas Miliauskas MIC,
étudiant de l’école régionale
Les cours de l’IFAC et la communauté de Panevėžys, où je me suis rendait tout au long de 4 ans, me manque en ce dernier temps. J’ai vraiment pas mal reçu pendant ces rencontres à Panevėžys. D’une part ils m’ont éclairé, d’autre part ils m’ont bascule bien fort… En effet je rends grâce au Bon Dieu pour cette possibilité de connaitre l’école de père Jacques Bernard. En ce moment je suis en train de lire mes polycopies, mes notes et mes pensées de premier seuil de la foi. Plusieurs passages je lis comme pour une première fois, même s’il y a plein de notes que j’ai mises sur le bord de la page. Les bases sont reste graves dans mon mémoire, mais je n’ai pas encore compris jusqu’au bout tout le système de l’enseignement de père Jacques Bernard. Je la touche, je la sens, mais je ne pourrais pas encore la verbaliser solidement. Je suis sur que certains compréhensions arrivent seulement avec certains expériences, une maturité.
Il y a 2 ans que je suis des cours par correspondance en vue de licenciât ou d’un doctorat, à Varsovie. Touts les professeurs sont de meilleures qualités. Il y a un professeur un spécialiste de l’Écriture Sainte qui étudie et écrit beaucoup, mais malheureusement il essaye tout présenter qu’au niveau d’une bonne catéchèse catholique. L’exégèse traditionnelle ou la théologie traditionnelle séparent Jésus de judaïsme. Alors que pour moi, après l’IFAC, cela parait comme la perte de l’authenticité même de Jésus. La méthodologie de l’IFAC qui explore le Nouveau Testament est plus vraie, plus persuasive, moins dogmatisée. Le discours de père Jacques sur le péché originel, sur le mariage etc. sont plus intéressants pour moi. J’ai remarqué que touts les seuils de la foi sont comme une « mystique », ouverte et personnelle.